Ô combien seul le poète ! par : Mohammed Ben Fares-Tanger-Assilah /Maroc 7 octobre 2020 Mohammed Ben Fares Au temps de corona ce temps qui s’en va rafales de vent sans fracas tant de dégâts que de pleurs que de remords résonnant si fort au ton de nos tords! Le faucon depuis le ciel épiant villages et camps avec toute sa raison ravit le chrysanthème frémissant! Dans ma chambre grise plus étroite que jamais étouffent mes jours se taisent mes mots valsent mes orchidées sans pouvoir les admirer! De mon coin isolé je vois la lumière s’en aller avec « qui » je flirtais la nuit arrivant ô combien seul le poète! Regardant le ciel sans étoiles mes pensées vont au monde à ceux d’ici.. à ceux d’ailleurs à ceux délaissés sur l’autre rive à ceux coincés juste à côté ! 2020-10-07 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet