Quand je sens l’odeur de l’amour par :Sanaz Davoodzadeh Far –poétesse iranienne –Téhéran Mohamed Salah Ben Amor 17 février 2017 Quand je sens l’odeur de l’amour Aucun aérateur d’aucune usine ne peut Me concurrencer. Déchirez-moi comme on déchire les pétales Puis envoyez-moi à Paris Et appelez-moi Juliette, Je serai le parfum le plus vendu ! وقتى با بوى عشق كشيده مى شوم هواكش هيچ كارخانه اى حريفم نيست پرپرم كنيد بفرستيد پاريس نامم را بگذاريد ژولييت عطر ... Lire la suite »
Tutta la vita l’ho trascorsa inseguendo le mie stelle distanti da :Suzanne Ibrahim da –Damasco – Siria tradotto da:Laura Mucelli Klemm Mohamed Salah Ben Amor 17 février 2017 Tutta la vita l’ho trascorsa inseguendo le mie stelle distanti. Vagavo distratta nell’ambito della terra. Perennemente, incatenavo lo sguardo al cielo del sogno. Ho raccolto i miei sogni una stella dopo l’altra e sempre ne sgorgava un’altra. Ora, un’altra stella distante scintillava talmente intensa che mi sembro’ di coglierla. J’ai passé ma vie à poursuivre mes étoiles lointaines ... Lire la suite »
La porte de Mercure*, la porte de Mousallaa* par :Furat Esbir – poétesse syrienne – Nouvelle-Zélande Mohamed Salah Ben Amor 11 février 2017 La porte de Mousallaa La porte de Mercure Al-Zahira* Le four automatique, Daffou Al-Shawq* Les cloches se mettent à sonner à la porte de Thomas Racontant l’histoire de Marie Quand elle était sous le tronc du palmier ! La voix du muezzin, Les noms et les sons…je les connais. Ce sont des signes que je dessinais pour revenir du chemin ... Lire la suite »
La porte de Mercure*, la porte de Mousallaa* par :Furat Esbir – poétesse syrienne – Nouvelle-Zélande Mohamed Salah Ben Amor 11 février 2017 la porte de Mousallaa La porte de Mercure Al-Zahira* Le four automatique, Daffou Al-Shawq* Les cloches se mettent à sonner à la porte de Thomas Racontant l’histoire de Marie Quand elle était sous le tronc du palmier ! La voix du muezzin, Les noms et les sons…je les connais. Ce sont des signes que je dessinais pour revenir du chemin ... Lire la suite »
Messages très brefs par :Oumeima Ibrahim – Damas –Syrie Mohamed Salah Ben Amor 11 février 2017 Laisse les colombes de ton âme s’envoler Envolée après envolée ! Et n’attends pas leur retour Car elles passent la nuit Dans le nid de mon cœur. Approche ton cou Pour que je l’enveloppe dans un châle Tissé de mes mains Avec les fils d’un cocon Qui a tenu à te faire don De la soie de ses ... Lire la suite »
Message-songe par :Najette Ouergui – Tunis Mohamed Salah Ben Amor 9 février 2017 A la faveur des heures épanouies Je déploie sans heurts Mes rêveries, Poursuis les étoiles, A travers les voiles Des limbes de douceur. Soutenant l’éther du regard , Je me confis , m’épanche -Sans égard Pour les dards, les avalanches De fadeur- J’éparpille Aux nuages songeurs Mes hymnes intérieurs. Çà et là je saisis Des bribes ... Lire la suite »
La route qui m’a prise m’a rendue par : Nwal Al- Ghanim , poétesse irakienne –Sidney –Australie Mohamed Salah Ben Amor 8 février 2017 La route qui m’a prise m’a rendue. La route qui m’a égarée est aveugle et sème les cendres. Les ombres près desquelles je passe sont muettes Et de leurs habits tombent les étrangers. Un pays délicieux mais il ne ressemble pas à l’odeur de ma main Un pays souriant mais il ne ressemble pas à la larme de ma mère Un pays ... Lire la suite »
Monsieur le prêtre par :Hala Shaar – Damas – Syrie Mohamed Salah Ben Amor 31 janvier 2017 Monsieur le prêtre Ne faites pas vos ablutions ! Les prieurs ont commis Le péché de la mort nue ! سيّدي الكاهنَ : شعر : هالا الشّعّار – دمشق – سورية سيّدي الكاهنَ لا تتوضَّأْ المُصَلّونَ ارتكبوا مَعصيةَ الموتِ العاري Lire la suite »
Le mutisme par : Hala Shaar –Damas –Syrie Mohamed Salah Ben Amor 15 janvier 2017 Le mutisme Est une langue de foi, Un remède pour un cœur Qui a trop souffert De l’alternance de la tragédie الخَرَسُ :شعر: هالة الشّعّار – دمشق – سورية الخَرَسُ لغةٌ إيمائيةٌ دواءٌ لقلبٍ اكتوى بتناوبٍ الفجيعةِ Lire la suite »
Lorsque tu viens à moi par :Oumeima Ibrahim – Damas – Syrie Mohamed Salah Ben Amor 13 janvier 2017 Lorsque tu viens à moi, Le matin me submerge de ses perles Et la turquoise du ciel se déverse Caressant un vent Qui souffle tristement. Non …tu ne t’égareras pas Et tu ne te perdras pas ! Dans les campagnes de la flamme amoureuse, Il n’a jamais existé de dunes, Ni …de labyrinthes. C’est un pin Dans la main d’Ishtar. Son ... Lire la suite »