Je discute

La traduction entre la fidélité et l’altérité par : Sadok Gaidi – Fouchana -Tunisie

L’opération traductive est en elle-même un dilemme devant le traducteur du texte littéraire ou artistique. Certaines embûches se dressent sur le chemin de cette aventure à risques autant pour les « sourciers » que les « ciblistes ». Fallait-il insister sur le texte d’origine ou d’arrivée ? fallait-il être fidèle à la source ou l’abandonner au volet esthétique ?Ou encore mettre à l’avant  la proportionnalité syntaxico-linguistique ? Un ... Lire la suite »

Pollution visuelle, villes fantômes par : Sadok Gaidi – Fouchana –Tunisie

L’environnement ne cesse de tracasser la communauté humaine internationale, vu son ampleur, l’envergure de ses risques. C’est une affaire cruciale qui tient à cœur tout un chacun de la société civile, en constitue son point nodal. La propreté de la ville moderne ne concerne pas notre présent seulement mais se prolongera aux générations futures. Nos enfants auront droit à un environnement sain où ... Lire la suite »

Le livre est le meilleur cadeau de la vie par : Sadok Gaidi –Fouchana- Tunisie

  L’écriture est l’aboutissement de lectures diverses issues de l’enfance, passant par l’adolescence, arrivant à la vieillesse. C’est dire une navigation en continu dans les méandres de notre histoire particulière et universelle. Une étape nécessaire qui nourrit une passion dévorante qui nous guide sur le chemin de l’écriture, non de surface mais des profondeurs mythiques de l’humanité. André Malraux n’a-t-il ... Lire la suite »

LA FRATERNITE DU SAVOIR Par : Mustapha Saha – écrivain marocain

  Le pouvoir tire son efficience technique et sa légitimité morale de la confiscation institutionnelle du savoir, de tous les savoirs. Les élites, dans tous les domaines, produisent et reproduisent l’ordre établi. Le système éducatif, dans sa totalité, est structuré en sas successifs pour perpétuer cet état des choses. Il n’est pas de démocratie réelle sans démocratisation du savoir. La ... Lire la suite »

Mohamed Salah Ben Amor répond à une question du journal londonien « Al-Quds Al-Arabi »sur le présent et l’avenir des Arabes :

http://www.alquds.co.uk/?p=440023 Question : Si la mentalité arabe a réussi dans le passé à briser ses chaînes pour produire, il y a plus d’un siècle, une époque florissante qu’on a appelée « l’époque de la Renaissance » ou « l’époque arabe des Lumières », malgré la situation politique, sociale et économique qui prévalait à ce moment, les Arabes sont-ils en mesure, ... Lire la suite »

Mohamed Salah Ben Amor:Le rôle du critique

Le rôle du critique n’est pas de se substituer au tribunal pour juger les écrivains et les poètes puis rendre contre eux des verdicts mais de dégager les traits les plus reluisants , les plus pertinents et les plus représentatifs de leurs œuvres si elles en comportent sinon il les ignore et continue son chemin.   Lire la suite »