Archives de l’auteur: Mohamed Salah Ben Amor

Avatar

O flauto ! de : Nwal Al-Ghanim – poetessa irachena – Sydney –Australia – tradotto da : Laura Mucelli Klemm

  أيّها النّايُ : شعر : نوال الغانم – شاعرة عراقيّة مقيمة في سدناي بأستراليا – ترجمته إلى اللّغة الإيطالية الشّاعرة الإيطاليّة لورا موسلّي كلام O flauto ! Il lamento traboccante dai tuoi buchi Assomiglia allo scialle di mia madre. Ogni volta che la patria bagna Il mio pennello Con l’acqua della tragedia, Gli uccelli  ai quali ho lanciato I semi ... Lire la suite »

Enfance par :Oumeima Ibrahim – Damas –Syrie

  Plante dans mes chemins Ce que tu désires Et emmène-moi avec toi là où tu voudras ! Il se peut que je sois une fillette turbulente… Et chicaneuse Détenant entre les mains Une joie qu’elle relâche Quand tu le désires. Il se peut qu’une somnolence me séduise Dans le but de te gagner. Je dirais alors : « Laisse-moi m’assoupir calmement Et surveille ... Lire la suite »

Je choisirai des flots par: Laura Mucelli Klemm – poétesse italienne résidant en France

  Je choisirai des flots Qui ne portent aucun nom Comme autrefois Bercée par la couleur D’un soleil intérieur Dans la distance et le sommeil Car c’est mon cœur que j’alimente Dans la forge de l’existence. De chair et d’absence La quiétude demeure Expatriant le moindre transport. Tout culmine dans le fragile équilibre Avant de pénétrer l’inconnu. Ils se chargeront ... Lire la suite »

Les cinq bougies… ! par : Abdellatif Bhiri – Safi –Maroc

  Cinq bougies et des poussières Pour fêter mon anniversaire En cette belle saison du printemps Que je chéris depuis longtemps La première est pour mon enfance Que je vécus dans l’insouciance Bercé par l’amour maternel Gâté par une fratrie belle La seconde pour l’adolescence Effervescence et dissidence J’étrennai la passion fougueuse Qui finit d’une façon houleuse L’âge de mon ... Lire la suite »

Vénérée tristesse par : Imene Bensitouah – Poétesse algérienne –Istansul – Turquie

  Toi, vénérée tristesse, Quand, avec  tes bras fervents, Tu m’enlaces Telle une mère baignant son fils, Dans des ondes de tendresse, Et quand, dans ton berceau cruel, Soigneusement tu me berces,   Ô  ta majesté tristesse Quand sur les flots Du chagrin broussailleux, Tu me transperces, Tu m’aveugles et tu m’obsèdes, Tu me noies dans les eaux Troublées de ... Lire la suite »