La lune par : Maissa Boutiche – Ain Bénian- Alger – Algérie Mohamed Salah Ben Amor 18 mai 2017 Elle se dit amie de la lune, Que les étoiles aiment sa voix, Que son rêve dans sa rondeur A construit son propre toit. Mais la lune s’est voilée par la brume. Elle se cache dans les bois, Elle se drape, se faufile entre les arbres, Elle recherche sa voie, Elle a peur dans le noir, Dans le dos, ... Lire la suite »
Le grand pardon (Partie II) : Abdellatif Bhiri – Safi –Maroc Mohamed Salah Ben Amor 18 mai 2017 Dans la turbulence de mes incertitudes, je me suis plongé dans la lecture des livres. Tout ce qui tombait dans mes mains, je ne pouvais, ni ne savais choisir à ce stade ! Heureusement que j’avais un frère aîné (non pas celui cité plus haut !) et une sœur qui lisaient énormément et me procuraient, sans le savoir, mon domaine ... Lire la suite »
Décembre et un demi-parapluie par :Deema Mahmood – Le Caire –Egypte Mohamed Salah Ben Amor 18 mai 2017 Comme des gouttes de pluie de décembre Coulant encore sur mon verre Sans égratignures Depuis le baiser de notre enfance Et notre découverte absurde du plaisir et de l’amour. * Avec deux lèvres sèches tenant un demi-parapluie, Elle creuse son envie ardente malgré l’écoulement Dans la poussière de la mémoire, l’herbe des détails Et des arbres dont le ... Lire la suite »
La paix par : Rémy Ducassé dit Erdé – Bastia- France Mohamed Salah Ben Amor 18 mai 2017 A Abdelghani Rahmani pour son amitié fidèle. L’appel à la Paix, jamais ne se hurle Convaincre ça n’est pas un cri. L’appel à la Paix, c’est un murmure La douceur, le mot posé remplace l’injure. L’appel à la Paix, un souffle léger Au creux, ourlé d’une oreille attentive. L’appel à la Paix, à nul ne s’impose Mieux vaut y ... Lire la suite »
Le grand pardon (Extrait 1) par : Abdellatif Bhiri –Safi – Maroc Mohamed Salah Ben Amor 17 mai 2017 J’aurais tant aimé écrire une lettre à mon père de son vivant ! Mais, puisqu’il n’est plus là, c’est devenu plus simple et plus facile de m’exprimer ! Cher Père, Je sais maintenant que tu n’as jamais été là pour moi et ce depuis ma naissance. Mes semblables souffraient de l’absence de leurs pères dans leur tendre enfance, mais ... Lire la suite »
Le tronc par :le grand artiste peintre et poète Faouzi Maaouia – Tunis –Tunisie Mohamed Salah Ben Amor 16 mai 2017 Lire la suite »
Si tu étais, tu serais par : Maissa Boutiche – Ain Bénian – Alger – Algérie Mohamed Salah Ben Amor 15 mai 2017 Voyageur avec moi dans le royaume du temps Qui sera fleurs et moissons. Dans le calendre de mes saisons Tu seras ma raison de vivre Et mes instants qui ne se figent. Ta présence raccourcira les jours en heures. Nos sentiments d’amour se désaltèreront. Nos âmes soules danseront Sur le même rythme sur notre colline… Si tu étais, je serais ... Lire la suite »
L’opposition pertinente en art et en littérature n’est pas entre « bon » et « médiocre » par :Mohamed Salah Ben Amor Mohamed Salah Ben Amor 14 mai 2017 L’opposition pertinente en art et en littérature n’est pas entre « bon » et « médiocre » mais entre « distingué » et « ordinaire », car c’est le distingué qui fascine et déroute tandis que l’ordinaire est dépourvu de toute couleur ou saveur et n’a aucun effet sur le récepteur, le premier étant l’apanage des personnes de talent, tandis que le second est à la portée des ... Lire la suite »
Partir… ! par : Abdellatif Bhiri –Safi – Maroc Mohamed Salah Ben Amor 13 mai 2017 Partir Pour ne plus souffrir, Pour ne plus s’alanguir, Pour ne plus moisir. Partir Pour différer le dire, Pour éluder le délire, Pour ne plus aigrir. Partir Pour encore jouir, Pout espérer sourire, Pour réapprendre à rire. Partir Pour espérer guérir, Pour se rajeunir, Pour se reconstruire. Partir Pour goûter à l’élixir, Pour t’aimer à loisir, Pour t’aimer à ... Lire la suite »
Séché de neurasthénie par : Cherif Chebihi Hassani –Casablanca – Maroc Mohamed Salah Ben Amor 13 mai 2017 Séché de neurasthénie Et Flétri de mélancolie Dans l’espoir, mon cœur Cherchait une fraicheur. J’entreprends ma voie, Tourne mes regards mille fois Et devant ce vaste choix Mon cœur jaillit d’émoi. Soudain, j’aperçois une Rose Elle m’affriole, je sens l’osmose, Je m’arme de courage Et la Cueille sans volage. La fleur est à moi. Elle m’appartient. ... Lire la suite »