La pleine mesure par : Dehbia Ammour – poétesse algérienne résidant à Paris -France 7 mai 2019 Dehbia Ammour Qu’as-tu initié de la pleine mesure ? Toi qui a sillonné le temps qui dure T’as pris les vastes mers sans retour En s’esquivant en silence de l’amour Resté là-bas sûr de toi à l’infini Des pensées à l’affut de ton génie De ma tourmente, tout se déchaîne En supportant le poids de la haine Tu ne cesses de gronder ta colère Sans tenir compte de ton mystère Qui a fait valoir le grand respect Perdu trop loin dans le suspect Vis-en ce temps là dans l’étroite ruelle Qui te pousse avec sa saveur cruelle Ainsi surgit dans le funeste scénario Qui se prend tel un vrai impresario Depuis, plus de passion dévorante Ni d’effluve ni d’essence de parfum odorante À une secrète proie de sentiments Succombant au regard du moment Le mot accompagnement est vide Intrigué, il est parfois trop sordide Le regard fragile fait vaciller la flamme Le réveil du sans voix avec l’oriflamme Le respect a une certaine révérence Aréolée d’admiration d’une référence Tournée vers l’ombre d’une énigme Elégante par l’opiniâtreté du paradigme Croyant vaguement au nouveau départ L’avenir agonise sur le compte du retard Âme triste qu’as-tu comme inquiétude ? Au vue de la force calme qui se dénude Nous sommes des captifs de notre passé Obéissants au déni modélisant professé Le style d’une litanie de phrase inachevée Qui craint l’esprit tordu en creux gravé 2019-05-07 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet