Il n’y a pas plus dangereux pour l’artiste, l’écrivain ou le poète que la critique complaisante 17 septembre 2015 Il n’y a pas plus dangereux pour l’artiste, l’écrivain ou le poète que la critique complaisante et les propos élogieux non argumentés qu’on tient sur ce qu’il produit, car ils le prédisposent à la vanité et à la fausse estimation de soi .Et pour se prémunir de ce fléau, il n’y a pas meilleur que la modestie et l’autocritique. 2015-09-17 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet