Les bruits courent par :Arezki Hatem – Beni Douala -Tizi Ouzou -Algérie 11 mai 2018 Arezki Hatem Dans la ville au tristes décors Qu’une symphonie se jouera Sous d’épais décombres Aux premiers vagissements de l’aube Éphémère répit pour les fumeurs des cendres Des âtres sans âmes et sans ombres Où pour seul convive Un homme sans voix et sans cambre Car dans la ville orpheline de son ambre Les narines sont cernées de cendres Et l’ouïe sombre sous les chants des tombes... 2018-05-11 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet