Ö toi qui as prodigué au corps malade… par :Salwa Rabhi –Tunis -Tunisie 22 avril 2018 Salwa Rabhi Ö toi qui as prodigué au corps malade L’aptitude de voler dans l’air, Ici les oiseaux des contrées inhabitées sont sur les arbres. Leurs nids sont campés dans le cœur Et leur feu qui palpite dans le pépiement de la branche La pluie l’éteint. Ne t’attends pas à un grand amour Rassurant dans les logis ! Ö toi qui prodigue la langue dense dans des poèmes Dont l’âme a habité des mots de pierre ! Ö celui qui me lit, j’étais un bavardage Et tu étais une braise dans le silence ! Quand je déclame des vers, Soit je chante, soit je meurs ! 2018-04-22 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet