Prise, essoufflée
Entre le toi conscient
Et le désir profond
De ton âme sciée
En gouttes de sang,
Tu supportes et délires
A perdre la raison !
J’imagine tes yeux hagards
Aveuglés de larmes amères,
Le visage blêmi par le sort
Qui piétine sans remords,
J’entends les cris d’un cœur
Affaibli mais debout et stoïque !
Cependant dans cette lutte
Silencieuse et déchirante,
L’âme plantera son drapeau
Sur leur moi suprême déchu !
Sii Mohamed Salah Ben Amor ne se lasse pas !
Et moi je ne me lasserai pas d’exprimer ma reconnaissance envers notre professer Mohamed Salah Ben Amor qui persévère dans cette noble mission consistant à soutenir les jeunes plumes en détresse et non reconnues . Mes remerciements visent à saluer également les efforts soutenus du comité de lecture et de tous les membres de l’équipe « Culminances »
Mohammed Benfares, Assilah le 11 mars 2017
très beau comme d’habitude
Merci mon ami
Décrire l’enexprimable , c’est laisser murir la souffrance , le grand vide , le désarroi..Se replier sur soi , tiraillé entrele coeur et la raison ..Ce coeur stoique dévoré par des larmes où loge la douleur..S’amasse sur les profondeurs de l’ame , sillonnée des séquelles des délires de la fatalité..La solitude languissante s’alimente de son silence ..pour que son écho résonne aux tréfonds de ces vers..Le poème est bel et bien ,uncri de détresse..un cri aigu qui se déchire tout le long des éthers et se retrouve merveilleusement en encre noir et en mots ..pour revivre cette vibration u gai à travers la poèsie et les sensation..! Encore, faut-il etre insensible à tout ..sauf à la beauté de la douleur !
Merci d’apprécier. Amitiés
Je reste sans mot devant la profondeur et la générosité de votre appréciation . Merci Saida