Le projet de la poésie mondiale du critique et traducteur tunisien Mohamed Salah Ben Amor (2ème partie):

Deuxième bouquet : des recueils de poésie traduits :

Mohamed Salah Ben Amor  a traduit jusqu’à présent six recueils de l’arabe vers le français .Tout en continuant dans cette voix, il projette de publier d’autres recueils du français vers l’arabe.

Les recueils parus :

Mon cœur l’oiseau de la poétesse syrienne Suzanne Ibrahim :

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Ce livre est une traduction de l’arabe vers le français d’un recueil de la poétesse syrienne Suzanne Ibrahim demeurant à Damas. L’ouvrage comporte 53 haïkus et mini-poèmes abordant des thèmes divers. Le lecteur pourra apprécier l’originalité des idées maîtresses et le caractère surprenant des images. De ce fait, cette œuvre présente au lecteur francophone un bon échantillon de la poésie arabe contemporaine.

Tableau de la couverture : l’artiste peintre  syrien Anouer Rahbi

 

Le sommet est un puits renversé du poète irakien Adnan Al-Sayegh :

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Ce recueil réunit un choix de haïkus et de mini-poèmes traduits de l’arabe du poète irakien contemporain Adnane Sayegh dans lesquels l’auteur plonge les lecteurs dans  une atmosphère fantastique  inspirée  de la situation arabe actuelle, tout en  s’élevant  dans son évocation à un niveau existentiel où se mêlent le subjectif et l’objectif et se posent les questions de l’identité et du devenir avec un accent ironique acerbe.

Tableau de la couverture : l’artiste peintre irakien Amir Khatib

 

Sur les rivages de la nostalgie de la poétesse syrienne Linda Abedalbaki :

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Ce recueil, traduit de l’arabe,  regroupe un ensemble de haïkus et de mini-poèmes foisonnant de connotations et d’écarts inédits et se caractérisant  par une quête permanente d’images symboliques déroutantes. Sur le plan thématique, il place son auteure au cœur des préoccupations existentielles de l’Homme contemporain, tout en laissant filtrer un mélange de tristesse furtive et de pessimisme latent.

Tableau de la couverture : « Ophélia II », huile sur toile,70  ×  50 cm de l’artiste peintre française Monique-Mary Ihry.

 

Le loup du temps a passé du poète tunisien Mohamed Ammar Chaabnia :

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Ce recueil de poésie du poète tunisien contemporain Mohamed Ammar Chaabnia dont l’orientation majeure est militante et engagée comporte un choix de textes poétiques traduits de l’arabe  traitant des thèmes divers,  allant de la condition de la classe ouvrière locale à celle de la classe ouvrière mondiale et des problèmes sociaux aux questions existentielles touchant la place de l’humain à notre époque. Sur le plan stylistique, les poèmes choisis  ne versent nullement dans le discours incitatif et mobilisateur qui est de mise dans ce genre de poésie mais se  distinguent par une langue finement ciselée et hautement poétisée.

Tableau de la couverture : l’artiste peintre syrien Assad Samoukan

 

Sous presse chez Edilivre en France :

 

Peu de temps avant ta mort du poète irakien Hamdan Taher Al-Maliky :

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Hamdan Taher Al-Maliky appartient à la nouvelle génération de poètes irakiens qui ont grandi sous l’ombre de la guerre et ses horreurs et les crises politiques et leurs méfaits. Le poème sous sa plume a toutes les caractéristiques du songe, notamment le pouvoir de traverser les limites de l’espace et du temps et de faire chuter, dans un sens que dans un autre, tout obstacle se levant entre la réel et l’imaginaire, du fait que le réel, de par le haut degré de surréel et d’absurde qu’il a atteint a dépassé de loin l’imagination elle -même .Cette expérience a eu pour effet d’agrémenter son discours d’éclairs artistiques fascinants.

-Tableau de la couverture:L’artiste peintre irakien Sattar Naama

 

 

Je suis devenue à présent une forêt  de la poétesse syrienne Suzanne Ibrahim :

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Profondément bouleversée par la guerre qui sévit dans son pays, la poétesse syrienne Suzanne Ibrahim , résidant à Damas, armée de sa sensibilité existentielle effilée et son  imagination féconde , s’élance,  à travers cette nouvelle série de cinquante-quatre haïkus et mini-poèmes,  dans un questionnement pathétique sur l’absurdité de la vie et l’effondrement des valeurs humaines dans le monde d’aujourd’hui.

Tableau de la couverture :”La femme de la forêt” de l’artiste peintre syrien Basel Nisafe

 

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