« Radhouane El Kouni nouvelliste, romancier et critique»: le 5ème colloque de la maison Ichraq éditions avec la collaboration de l’Association des anciens élèves de l’école Sadiki (1): hommage au critique Mustaha Kilani et à la poétesse Najette Ouerghi 16 janvier 2022 Radhouane ElKouni Ce colloque s’est tenu le 8 janvier 2022 à 9h du matin au club des anciens élèves de l’école Sadiki sis au 13 rue Dar El Jild à Tunis. Hommage aujourd’hui au grand critique tunisien Mustapha Kilani à la séance d’ouverture de notre colloque sur feu Rdhouane El Kouni au club des anciens élèves de l’école Sadiki Mustapha El Kilani Il est né le 29 Août 1953 à El Kalaa Essoghra, gouvernorat de Sousse (Tunisie) .Il se distingue par sa solide formation philosophique et ses approches philosophiques originales et approfondies des œuvres littéraires .Auteur profus mais sans verser dans la facilité. Il a édité jusqu’à présent 44 ouvrages et a publié de nombreuses études et d’essais dans des revues tunisiennes et arabes telles que « Histoires», « La vie culturelle » et « Le monde de la connaissance », « Les lettres libanaises », « L’esprit arabe contemporain » (revue libanaise), « Saisons » (égyptienne), « Cultures » (bahreinite) , « Rivière » (émiratie) » … Il a participé à de multiples colloques scientifiques et littéraires dans plusieurs pays arabes et européens. Il a été rédacteur de quelques revues arabes dont « Ecrits contemporains libanais »… Ses œuvres se rapportant à la littérature tunisienne : -Problématiques du roman tunisien, Beït El Hekma, Carthage, Tunis, 1990. -Extraits de romans tunisiens, Beït El Hekma, Carthage, 1990. -Abou El Kacem Echebbi, la douleur de l’écriture, l’âme de la vie, Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2004. – Le doyen des hommes de lettres tunisiens, Mohamed El Hédi El Amri en mémoire, Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2005. -Recherches et études arabes -Existence du texte – texte de l’existence, MTD, Tunis, 1992. -Méta-linguistique, texte et lecture, Omaya éd., Tunis, 1994. – Problèmes de l’être et la culture possible, Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 1995. – L’orgueil du poème, promenade dans l’univers de Nizar kabbani , Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2002. – Culture du sens littéraire, Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2002. – Temps du roman arabe, l’écriture de l’expérience, Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2003. -Valeur et différence, approches intellectuelles, Dar El Maaref , Sousse, Tunis, 2004. -Appel du lointain, poème et lecture, Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2004. -Idéologie de la violence, la communication impossible – la communication possible, Dar El Azmina, la Jordanie, 2005. -La poésie différentielle, écriture des profondeurs dans les textes poétiques d’Alaa Abd El Hedi, Centre de Civilisation Arabe, Egypte, 2005. -La beauté de l’absence, Ilyes Fercouh et la créativité du texte pluraliste, Publications d’El Amana Kobra d’Aman, Jordanie, 2006. -Joie suspendue à la dernière ligne, Balance éd., Tunis, 2006, (poésie). – Charbal Daghar : L’envie du poème, MO, Egypte, 2007. – Poétique de la mémoire, lecture des œuvres d’Ali Jaafar El Aleg, Dar El Azmina, Jordanie, 2008. – Roman et lecture Dar El Azmina, la Jordanie, 2009. -L’aigle des visions, choix et présentation de poèmes de Hédi Daniel, Farkid éd., Syrie, 2009. – L’Homme, cet être à multiples dimensions, Sammed éd., Tunis, 2009. -Miroirs de l’obscurité, poème de la prose et avenir de la poésie arabe, Noukouch Arabia , Tunis, 2009. – Histoire et existence, ce qui demeure et ce qui a disparu, MAS, Liban et MD Alger, 2010. – Envie sans ailes, et autres articles, Dar Noukouch Arabia, Tunis, 2010. Oeuvres narratives : -Quelques récits de ciseaux (nouvelles) MTD, Tunis, 1985. -Années de sauterelles et de douleurs (nouvelles) MTD, Tunis, 1994. -Le rêve du chemin (nouvelles) Sahar éd., Tunis, 1999. -Hémorragie de l’ombre (roman), Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2001. -Miroirs des heures mortes (roman) Balance éd., Tunis, 2004. -La dernière cloche, début du danger, (roman) Balance éd., Tunis, 2005. -Casino Faj Errih, (roman), Farkid éd., Syrie, 2009. -Ghaza, ô femme (nouvelles) Dar El Maaref, Sousse, Tunis, 2009. Hommage à la poétesse Najette Ouerghi à la séance d’ouverture de notre colloque sur feu Rdhouane El Kouni au club des anciens élèves de l’école Sadiki: Najette Ouerghi La poétesse tunisienne Najette Ouerghi incarne l’universalité dans sa meilleure. Elle écrit la poésie dans trois langues : l’arabe, le français et le russe. Elle a obtenu le prix Zoubeida Béchir pour sa poésie en langue arabe, une médaille du ministère de la défense nationale dans un concours sur la bravoure el le dévouement de notre armée nationale et un 2ème prix dans un concours de poésie mondiale en langue française organisé par l’Unesco . Le centre culturel russe, de son côté, lui a consacré des récitals individuels pour sa poésie en langue de Pouchkine. Jouissant d’une sensibilité esthétique très vive, elle tente dans ses poèmes de dire l’indicible dans une langue métaphorique hautement poétisée. 2022-01-16 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet