Tige en vrille ! par :Dehbia Ammour–poétesse algérienne résidant à Paris -France 12 juin 2019 Dehbia Ammour Tige en vrille ! Jardin de la nuit qui brille Notre gravité du silence notes-en trille Rien n’est écrit en soi toujours d’avance Combattre loyalement est une souffrance Cherche sans arrêt ! Trouve le lien du site Je suis cruellement à la limite de la réussite ! Qui n’a pas fredonné ce doux et bel air Venu de loin, en la présente visite-éclair Décrire inlassablement l’autre bout de moitié Nul ne force à pousser le grain de l’amitié ! Arrache, à la grande vitesse, la boule d’espoir Elle se reflète en rai, sévit sur le grand miroir Jamais l’être ne pointe la joie sans abdiquer La forme du rêve particulièrement indiquée Ton regard monte tel le long élan du désir Le cerveau l’oisif atteint continue de gésir Le ciel terne trop ravagé par ce boniment Le hic se dresse contre le profond sentiment Depuis, je n’attends rien ! Pas de prétende Ni l’espoir de devenir la légère légende ! Je guète le fameux entretien du simple fleuve Le torrent en colère dit : « Il faut que je pleuve » Le cortège d’ennui se tord en violent sauvage Poursuit son itinéraire jusqu’au lointain rivage Revenir au bout, à penser neuf au lieu du juste ! Continuer le chemin sans le gain flibuste Dès l’aube, je te laisse dans le fait du doute Dénouant l’excès de sens souvent en déroute La crispation commence par les sains lombes Elle continue le circuit lent jusqu’à la tombe Prouve-moi tendrement la rage insinuée La fin du beau au dessus, il charge la nuée En maltraitant poliment mon triste présent Je me plains de ce temps passé résolument Reviens au bonheur échappant à la destinée Se contenter de profiter de ce qui est inné Paris le 9/05/2019 2019-06-12 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet