Ma sagesse égrenée par : Dehbia Ammour- poétesse algérienne résidant à Paris – France 19 mai 2019 Dehbia Ammour- Le bruit du tourment reste à l’écoute de l’embrouille Montre le jour fatidique du corps endormi en dépouille La verve accusatrice arrête vainement la bonne volonté Je ne rêve plus, les mots désertent le songe démonté Le bon vouloir d’énergie désemparé par l’hostilité Le tribut douloureux magnétique vogue en subtilité En parcourant les vastes rimes du soleil de minuit Il déroge à la règle qui suppose le divorce évanoui Le périple laisse des traces à travers le balbutiement Il t’encense chaque jour avec les sons du bruissement Ta traversée onirique s’achève en doux blasphème L’errance intérieure se situe dans le lacunaire poème Je me retrouve dans cet intervalle trop particulier Exécutant en chantonnant l’air du châtiment singulier La témérité de l’être contribue à l’intense curiosité Merci de me projeter sciemment dans la somptuosité Je navigue à vue dans les reflets du génie méconnu En t’ouvrant la porte de la mer qui t’es inconnue L’envahissement m’était familier durant des années Le froid et l’effroi ont précipité ma force vannée Paris le 18/05/2019 2019-05-19 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet