Tourmente ! : Mohammed Benfares – Tanger –Maroc

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Mohammed Benfares

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Est-il possible dans ce flou
D’entrevoir une issue ?
Les rafales fouettent 
Et la houle s’élève!
L’âme se consume
Et le corps cède 
Aux galops des jours !
La vie s’est arrêtée
Depuis fort longtemps
Dans la tourmente du temps 
Qui se joue de tout le monde !
L’imagination tente l’impossible
Dans un monde coincé d’énigmes !
La plume, une bouffée d’air,  
Éclaire et  libère ! 
Mais les ténèbres têtues 
Résistent, inaccessibles !
Entre la souffrance et la lumière
Une corde fine est tendue !

 

4 commentaires

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    Partagé par le biais de twitter. Afin de propager la poésie dans ce monde. Brille ô poètes, Brillez ô pétesses. Que la poésie accompagne nos cieux.

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    Vive la poésie c’est ELLE qui nous libère !!!
    LES POETES SONT DE RETOUR… !!!

    Après tant d’années de silence
    Après tant de regards malveillants
    Tant et tant de condescendance
    Les poètes enfin, sont de retour.

    Ils sont là, omniprésents sur la toile
    Rallumant peu à peu toutes les étoiles
    Ils n’ont plus peur de passer
    Pour des faibles ou des ridicules.

    LES POETES SONT DE RETOUR…

    Ardemment ils plantent leurs vers
    Nouvelles banderilles dans les dos
    Gémissant de vermisseaux serviles
    Esclaves de leur Dieu, l’argent.

    Courageux, intrépides et valeureux
    Allumeurs inlassables de réverbères
    Au fond des yeux craintifs des innocents
    Leurs mots sont coquelicots éphémères.

    LES POETES SONT DE RETOUR…

    De lâches vieux seigneurs guerriers
    En tremblent dans leurs tours de verre
    Malgré toutes les bombes qu’ils lâchent
    Sur les enfants, les vieux et les mères.

    Les esclaves relèvent la tête, hargneux
    Ils savent pouvoir compter sur le soleil
    Ils ne craignent plus l’obscurité de la nuit
    Les poètes nuits après nuits rallument la lune.

    © Rémy Ducassé dit Erdé le Mardi 28 Juin 2016.

    POETES DU MONDE JE VOUS AIME, PARCE QUE VOUS ÊTES MOI ET QUE JE SUIS VOUS !!!!

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      La poésie, Messager du beau

      L’automne succombe à l’hiver,
      Et le poète dessine ses vers
      Admirant le ciel et la terre !
      Le poète ne fut guère mufti*,
      C’est le beau qu’il chante et décrit,
      C’est l’amour qu’il porte et chérit !
      Ses armes sont le mot et l’image,
      Qu’il sculpte sur son passage,
      Offrant son cœur et son sang
      Qui coule chaud et abondant,
      Comme l’eau douce de l’étang !
      Et quand sonne l’heure de son départ,
      Il s’en va solitaire, sans garde ni fanfare,
      Il disparaît sans médailles, dans le silence,
      Il s’éclipse sans lumières, ni fleurs en diligence!

      *Mufti : Interprète officiel de la loi musulmane. (Jurisconsulte, il rend des sentences, les fatwa.)(Larousse ).

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