Ce bruissement de feuilles
Est là, pour laisser passer
La lumière aux rêves.
Le rire étendu
Aux pas tendus
Ne peut se soustraire à l’envol.
Le visage, de la lucarne,
Crie sa pâte de glaise
Et luit enfin de nuits de boue.
Comme la musique a soif de danse !
La chair aboie de tous ses miroirs.
Elle s’amuse dans le feu des bois,
En riant de toute sa sève crépusculaire.