Les trains qui couraient vers nos nerfs par :Mohamed Ammar Chaabnia- poète tunisien 20 octobre 2015 Mohamed Ammar Chaabnia Les trains qui couraient vers nos nerfs Ont été éjectés par les rails … Les galeries minières dont… Nos épuisements à cause d’elles N’ont pas cessé de s’entremêler Ont fermé leur gueule …porte après porte Et les lampes qui… Étaient auparavant des étoiles filantes… Leur carburant refuse désormais de brûler… Ö Aladin ! Que m’as-tu légué ? Ta lampe merveilleuse ? Ou tes souffrances dans ce que j’écris ? Épargne-moi les réponses que je connais Car le passé peut être subtilisé Par des lèvres menteuses … Mohamed Ammar Chaabnia- poète tunisien 2015-10-20 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet